Par cet article de 2017 je rappelle aux utilisateurs de l’antenne de Lecher cet exercice des plus appétissants.
Vous vous y connaissez-vous en champignons?
Moi non plus, mais en voici et bon appétit !
Pendant l’abondante disponibilité de champignons sauvages de cette fin de saison 2017, bien du monde en a bavé… Par prudence et parce que la certitude visuelle d’un bon champignon n’est jamais assurée, il s’est retenu d’en récolter. Les bonnes raisons de s’abstenir ne manquent pas. En temps de récolte, des radios et des organismes officiels rappellent les risques et la marche à suivre en cas d’empoisonnement.
L’antenne de Lecher pour diagnostiquer ce qui est bon à manger
Avec l’antenne de Lecher, départager les bons champignons sauvages des mauvais est un exercice simple. C’est analogue à tout autre test de compatibilité alimentaire effectué avec cet outil qu’est l’antenne. Savoir si un plat cuisiné est encore bon ou pas, savoir si l’eau de cette source est potable ou non, se fait sur le même réglage. La réponse est instantanée.
Tout ce qui est comestible ou compatible avec la vie émet un signal qui est intercepté par l’antenne de Lecher lorsque son curseur est réglé sur 2,5 cm. Cette valeur a été déterminée par le biologue belge Walter KUNNEN, de l’Université de Gent. Trier une centaine de champignons avec l’antenne se fait en quelques minutes. Il suffit de les étaler sur une table et de les “scanner” un par un (1 à 2 secondes chacun). Au préalable, les champignons différents ont été placés dans des sachets différents.
Psst!… Si vous venez d’acheter une antenne de Lecher, choisissez un exercice d’apprentissage moins risqué.
Ce test est le même pour déterminer si un produit est comestible ou non. C’est loin d’être tout: l’antenne permet d’évaluer la qualité bioénergétique de n’importe quel produit. C’est très pratique pour constater par exemple que bien de produits étiquetés BIO n’ont de bio que l’étiquette (mais pas le prix!)! Autres exemples:
- comparer la qualité de différentes bouteilles de vin sans devoir les ouvrir.
- comparer différentes marques de yogourts et constater (hélas) que la qualité de la marque plus chère est inférieure à plusieurs autres…
- comparer différentes marques d’eau minérale en bouteilles. La bioénergie de certaines eaux est proche de celle distribuée par la ville.
- s’assurer qu’une conserve ou un plat cuisiné est encore bon.
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